446 km avec la « U Cruise » EN B de chez UCROSS au Brésil

Ecrit par Bermo sur . Publié dans AIles cross, Parapente news

konrad-446

Konrad a volé 446km avec la U Cruise EN B au Brésil le 1er novembre 2016 !

C`est le plus grand vol jusqu`à aujourd`hui avec une voile EN B. En même temps il avait déclaré le goal de 425km, le record mondial a été envoyé à la FAI. La voile U Cruise avait été présenté à la Coupe Icare il y a que deux mois. Si vous voulez commander des voiles démos, n` hésitez pas me contacter. Prix public 3900€ / tailles S M L XL Demander l’avis de BERMO et tous les AVANTAGES
   

Record du monde pour Nicole et sa King !

Ecrit par Bermo sur . Publié dans Parapente news

Nicole Fedele
Hé bien voilà, il n’a pas fallu longtemps pour que Nicole Fedele atteigne son but aux commandes de sa King TRIPLE SEVEN toute neuve. Après simplement deux vols d’essai en Italie, elle débarque au Brésil où elle devient immédiatement la première femme au monde à avoir volé plus de 400 km en parapente. En attendant plus d’informations sur le déroulement de son vol qui constitue le record du monde féminin, vous avez accès à sa trace ICI. lire la suite…

1600 km en deux semaines et trois vols de plus de 300 km!

Ecrit par Bermo sur . Publié dans Parapente news, Uncategorized

aircross-Usport2-b
Quixada, au Brésil Konrad Görg,
propriétaire de Aircross www.aircross.eu et Kontest parapente service www.kontest.eu
a totalisé en 2 semaines plus de 1600 km dont 3 vols de plus de 300 km. Le vol le plus long avec 370 km sous sa « U-sport 2 » a été interrompu en raison de l’espace aérien TMA Teresina.
Je veux y aller moi aussi…avec une U-SPORT2 AIRCROSS
Retrouver toute la gamme AIRCROSS ICI !

LE MAGAZINE NUMÉRIQUE DU PARAPENTE ET DU PARAMOTEUR.

Ecrit par Bermo sur . Publié dans Parapente news

VOLER

COUPE ICARE 2015

NOUVEAU MATOS

NOUVELLES VOILES

la belle saison du parapente et du paramoteur se termine en fête, avec le salon de la coupe Icare dont voici quelques nouveautés intéressantes.

LE MAGAZINE DE PARAPENTE ET DE PARAMOTEUR, LIBRE D‘ACCÈS, GRATUIT ET EN ILLIMITÉE… SUR LE WEB, SUR IPHONE/IPAD, SUR TÉLÉPHONE ET TABLETTE ANDROID



Retrouvez tout ce matériel en vente chez Initial-Progress-Boutique.…ICI…
OZONE, TRIPLE-SEVEN, AIR CROSS, KORTEL, SUP’AIR, SYRIDE, FLYMASTER, MCC-AVIATION, SKY-PARAGLIDERS, SWING, PIOU-PIOU, BIPBIP, REVERSALE, BGD, NOVA, GRADIENT et d’autre.

LE PARAPENTISTE A SES SAISONS QUE LA SAISON IGNORE

Ecrit par Bermo sur . Publié dans Parapente news, philosophie

Mois Le risque-tout L’optimiste Le pessimiste Le timoré
Janvier C’est le mois où je m’éclate en dynamique dans des vents d’enfer, et les pétards qu’il y a sont bien secs ! Il y a toujours moyen de trouver un site bien exposé pour du soaring, et même du vol thermique sur un site sud bien ensoleillé. Quand il y a du vent, c’est de la bise et c’est trop fort pour voler, ou alors le temps est complètement bouché. Il fait très froid :on risque les engelures, et puis les décos enneigés me font craindre la glissade dans le trou.
Février Alors là, ça commence à me plaire : pétards secs mais qui te montent de 500m d’un coup… évidemment, ça fermotte un peu… Les contrastes herbe sous le décollage/neige derrière sont très favorables au vols thermiques. Février, c’est au bas mot 10 jours de chutes de neige, et quand ça fond, c’est mouillé partout. Ca y est, il y a déjà de nouveau des brises fortes et puis alors les thermiques font n’importe quoi.
Mars C’est le bout du tunnel : on peut commencer à zoner partout et puis il faut profiter du fait que les pécores ne sont pas là à regarder pousser l’herbe pour se vacher n’importe où. Très belles journées de vol thermique alternent avec des beaux dynamiques d’ouest. En plus, apparition des premières restitutions ! Les giboulées… ça vous dit quelque chose ? Et puis dès qu’on monte un petit peu, ça caille un maximum. Le vent n’arrête pas de tourner d’une journée à l’autre : j’ai toujours peur de décoller d’un site sous le vent météo.
Avril Alors là mon gars, tu ne me vois que deux fois dans la journée : juste avant le vol et longtemps après, vu la longueur de la récup’. C’est le mois des premiers vols thermo-dynamiques véritables, qui permettent de tenir l’après-midi en l’air. 15 jours de pluie, 15 jours de bise, le tableau d’avril est tout tracé. Il y a des fois, en avril, je n’arrive pas à redescendre sans les oreilles, manoeuvre qui me fait frémir rien que d’y penser.
Mai Deux bons vols dans une journée : un aller-retour de 20 bornes mini, suivi d’une restitution avec repose au déco en pleine nuit. Les thermiques deviennent amples, autant en dimension horizontale que verticale, en plus les débutants volent en thermique de restitution. C’est la feuille qui fait son apparition, le thermique se ramollit, en plus on vous dit que la bise, c’est 3, 6 ou 9 jours sans voler… Même en restitution, je commence à ne plus pouvoir descendre : je n’ose plus décoller avant le soleil couchant.
Juin Le vol sous et dans les nuages, ça me connaît ! Bien sûr, des fois on se fait un peu peur, mais ça passe toujours avec la baraka que j’ai habituellement. La restitution devient carrément délirante, c’est normal ce sont les jours les plus longs de l’année : difficile de trouver le sommeil quand on se pose à 22heures. Au menu : choux-fleurs en pagaille, tonnerre et humidité le soir après l’averse… Moi qui crains les nuages après tout ce qu’on entend sur les décollages, c’est le mois où je fais le plus de navettes aux autres.
Juillet Des plafonds qui nécessitent presque l’oxygène, je fais la nique aux deltas en leur faisant l’intérieur dans les noyaux. Chaque jour, c’est soit des conditions thermiques excellentes, soit une super restitution si la journée a été trop stable. Les orages, encore et toujours les orages… La brise décoiffe sur les décos, je ne sors plus ma voile de son sac avec des conditions aussi dantesques.
Août Décollage à 9 heures, posé à 21 heures, tant pis si on saute un repas dans la foulée: j’ai toujours une demi-orange dans mon sac. Les journées offrent une variété extraordinaire de vols, entre celui du matin et la restitution du soir. Une chaleur à crever sur les décollages, les élèves sous le coup d’une insolation qui gerbent dans la navette ou tombent dans les pommes. Plus moyen de trouver un site sans soleil et sans thermique en cette saison. Je me protège du soleil sous mon bob « Ricard ».
Septembre Là, j’adore : on rase le relief pour récolter les thermiques le long du caillou, on se fait secouer tout près du relief, c’est vachement excitant ! Le thermique est suffisamment calme pour que même les moins aguerris en profitent en plein milieu de journée. Y a plus rien comme brise ! En plus, revoilà la mousson. Les pluies succèdent aux intempéries… Les nuages reviennent en force : mes connaissances théoriques sans cesse révisées me font reconnaître les bons des mauvais, mais j’ai toujours un doute.
Octobre On fonce dès qu’une feuille bouge, on la vise et dès que ça bipe, on enroule serré à faire péter les commandes, quitte à finir en vrille à plat : les arbres sont là pour nous accueillir. Il y a encore moyen de voler en soaring dans des brises qui sont à cette saison très douces et régulières. Les barrages se remplissent et je me demande si je n’aurais pas mieux fait de choisir un sport en salle. Il reste encore quelques noyaux thermiques, et il faut toujours que ça tombe sur moi : je me fais encore des frayeurs en m’imaginant enroulé dans ma voile après une abattée gigantesque.
Novembre Le soaring à 40, c’est super : on se frôle, on pose sur la voile du copain : tout ce que j’aime, quoi. C’est la saison du beau vol dynamique, avec parfois la bonne surprise de croiser une bulle qui monte momentanément 200m plus haut. La Toussaint, le jour des morts : très peu pour moi, merci. Je recommence à craindre de reculer en décollant avec les vents forts qu’il y a.
Décembre Il faut absolument que je tente un décollage à skis de mon site-falaise habituel. L’air froid des soarings est lisse et laminaire : le pied. Au coin du feu, c’est quand même bien plus chaud et moins humide. Retour de la neige sur les décos: on peut se faire très mal si on glisse en montant.

Comment enrayer la spirale

Ecrit par admin sur . Publié dans Parapente news, philosophie

parapente modele de pensee
En 1967 le psychiatre américain Aaron Temkin Beck définit le concept de « distortion cognitive »comme une façon d’évaluer les situations et les relations à partir d’un filtre étonné, ce qui produit des pensées et émotions négatives. Le courant français de la psychologie cognitive en retient classiquement six, connues sous l’acronyme: « GRIMPA »

SIX FAÇONS DE SE FAIRE DU MAL…

Pour accéder à une vision plus réaliste de votre mental de parapentiste, je propose de comprendre votre « voix intérieure critique »
puis de lui faire passer une petite interro…

« GRIMPA »

G comme généralisation: tirer une conclusion générale à partir d’un événement ponctuel.

ex: J’ai raté ce thermique, je les raterai tous.

R comme raisonnement dichotomique: évaluer et envisager les situations et les relations seulement à partir de deux critères excessifs et opposés.(blanc noir, toujours jamais, etc.)

ex: Je veux cette marque et je refuse toute autre proposition.

I comme inférence arbitraire : tirer une conclusion négative à partir du seul élément que l’on possède.

ex: Il m’a dit qu’il me rappellerait pour me donner les délais de livraison, il n’a pas téléphoné, donc il se fiche complètement de ses clients.

M comme maximalisation du négatif et minimisation du positif. Ne retenir que le négatif en minimisant, voire en occutant le positif.

ex: Cette sortie parapente n’était pas à la hauteur de ce qui était prévu (cependant, on a découvert de superbes sites et rencontré des parapentistes formidables).

P comme personnalisation : se sentir responsable des événements et du comportement des autres.

ex: Si j’avais été plus attentif à la météo, si j’avais écouté mon intuition, je ne vous aurai pas fait venir sur ce site.

A comme abstraction sélective : ne retenir et ne se fixer que sur l’élément négatif d’une situation ou d’une relation.

ex: je n’ai pas su enrouler le thermique, donc je ne suis pas monté en altitude et je ne ferai jamais de cross..

Laisser un commentaire avec d’autres exemples « GRIMPA » venant de votre vécu!

Nouvel atterrissage de la Certenue

Ecrit par Bermo sur . Publié dans Parapente news

Voici la localisation du nouvel atterrissage parapente que vous pouvez utiliser dès aujourd’hui sur le site de La Certenue. Un portillon et une passerelle de sortie ont été installés en bord de route au nord du terrain.

Le terrain dit « de la Station Service » reste toujours utilisable.

Nous vous joignons aussi les consignes à respecter tant au décollage que lors des atterrissages.

Des panneaux seront implantés sous peu au décollage et sur l’aire de pliage pour rappeler ces règles d’usage.

Comme vous le savez, le site de la Certenue est l’un des plus importants de notre Région, tant pour les premiers grands vols que pour les départs en cross, mais c’est aussi l’un des plus « fragile ». Nous vous demandons donc de respecter, et de communiquer largement autour de vous, les consignes d’usage du site.


Michel Paté Président Le Creusot Vol Libre Laurent Massot Président du Comité Département de Vol Libre de Saone & Loire.


Consignes d’usage du site de la Certenue:

Pour le décollage:

Prendre connaissance des espaces aériens proches du site.

Orientation de NNE a ENE. ( Attention ne pas se fier à la balise d’Uchon qui est dé-ventée pour ces orientations)

Attention aux turbulences (rouleaux) par vent de Nord.

Pour l’atterrissage:

Respectez strictement les consignes d’usage des terrains d’atterrissage.

Les seuls terrains autorisés sont indiqués sur les cartes ci-dessus.

    S’il y a des animaux dans le pré:
  • Ne pas les repousser brusquement
  • Ne pas les faire courir
    Ne pas plier les ailes dans le pré:
  • Sortir du terrain par le portillon avec la voile en boule et utiliser la zone de pliage du parking après la voie ferrée
  • pour le terrain de la station, dégager la zone d’atterrissage rapidement et replier en bord de route